Septembre 2014 - Namibie - Walvis Bay et Sandwich Harbour






Nous découvrons nos premières dunes de sable à l’approche de Walvis Bay

On se croirait en plein désert du Sahara !





Hélas, pas de caravanes de chameaux ici…

Mais des alignements de quads !






La Dune 7 est un spot bien connu des amateurs de glisse et de sensations fortes car c’est la dune la plus élevée de la région





Ski, luge, sandboard, quadbike, il y a l’embarras du choix.

Nous passons notre chemin en quête d’un lieu de bivouac plus tranquille !

Quelle surprise de découvrir des flamands roses !

Ils sont des milliers à se donner rendez-vous chaque année dans la baie de Walvis Bay





Ils apprécient l’hiver clément et la salinité des lagunes côtières dont l’exploitation couvre, à elle seule, plus de 90% des besoins de l’Afrique du Sud.

Fascinant spectacle, dans la lumière métallique de cette fin d’après-midi






L’euphorie est à son comble lorsque nous surprenons un chacal en train de pêcher






Stop ravitaillement en ville : du poisson pour nous aussi !







La fièvre de l’immobilier a gagné Walvis Bay : les complexes balnéaires poussent aussi vite que les faux palmiers destinés à camoufler les antennes téléphoniques !
Dur, dur de trouver un bivouac isolé sur la plage…




Nous demandons une autorisation spéciale pour accéder à la lagune très préservée de Sandwich Harbour au sud de Walvis Bay.

Nous voilà partis pour 100 km de conduite dans les dunes côtières du désert du Namib !

Au royaume inviolé du vent, des otaries et des oiseaux migrateurs

Nous grimpons en haut d’une dune de 200 mètres afin d’admirer le panorama. Nos chaussures, pleines de sable, sont looourdes…

Evidemment, au sommet, la vue sur la lagune est imprenable !






Nous sommes plus haut que les pélicans dont nous admirons le vol en V !

« Ça, c’est rare ! » s’exclame Bertille qui prend conscience, petit à petit, du caractère extraordinaire de notre voyage…

Montée en 20 minutes, descente en 20 secondes.
1, 2, 3 : go, partez !





Merci Ton et Sylvie pour la rabane que vous nous avez donnée au Chili : nous n’avons pas eu l’occasion de nous dorer la pilule sur la plage mais que de glissades mémorables dans les dunes grâce à elle!




Hélas, l’heure du retour a sonné.

La marée monte et l’écume efface peu à peu la route, irrésistiblement attirée par le chant des dunes…





… qui avancent elles aussi vers la mer année après année, comme en témoigne cet ultime refuge ensablé !

Nous passons ventre à terre, laissant les mirages et bien des dangers derrière nous




Devant le soulagement palpable de son baroudeur de père, Zélie entonne sa ritournelle préférée : « Il est trop fort Baloo, youpi, youpi-you ! Il est trop fort Baloo, youpi, youpi-you » !

Tube familial repris en chœur par ses sœurs qui ajoutent avec fierté: « Il est trop fort Papa, youpi, youpi-you » !

Quelle belle aventure !

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