Novembre 2014 – Malaisie – Kuala Lumpur   

Nous attendons Baloo à Kuala Lumpur, la capitale ultramoderne de Malaisie, où nous avons loué un appartement






Il y a deux chambres avec lits king size: parfait !






Et une piscine sur le toit : le bonheur par cette chaleur !








Spectacles et jeux !

Entre deux séances d’école intensive pour rattraper le retard de ces dernières semaines…

Petite balade de nuit au pied des célèbres tours jumelles de KL





Allégorie du développement fulgurant de la métropole et vitrine du pays, elles abritent le siège de l’entreprise nationale pétrolière Pétronas.

La Malaisie est riche en pétrole et le litre de gasoil ne coûte ici que 0. 55 centimes d’euros !

Expédition culinaire à Jalan Alor.
De nuit comme tout le monde pour éviter la chaleur du jour et les orages de fin de journée

La variété des stands de rue reflète la diversité culturelle du pays. Tout un monde, épicé et inconnu, s’ouvre à nous !
Miam, les crapauds charnus…

Prudents, nous commandons ce que nous réussissons à identifier: poulet tandoori, brochettes de légumes, jus de grenade fraîchement pressée et glace à la noix de coco !

Direction le temple de l’informatique, un mall spécialisé dont un étage entier est consacré à la réparation et à la seconde main. Au royaume des pièces détachées, notre vieil ordinateur reprend vie en 30 minutes. Et voilà : une batterie et un écran neufs pour 90 euros et avec le sourire : vive l’Asie






Au cybercafé







Nous prenons le métro aérien pour nous déplacer en ville





Mais, après un mois, Baloo nous manque !

Heureusement, 1$ - notre transitaire malaisien ! - est redoutablement efficace et nous retrouvons Baloo le jour prévu


Hélas, nous avons un problème pour récupérer son autorisation de circuler en Malaisie : Bastien est en short, or il faut un pantalon, une chemise et des chaussures fermées pour traiter avec la fonction publique dans les bureaux de la cité administrative de Putrajaya … « Come back tomorrow » !

En jupe longue, Aurélie se charge des formalités devant le préposé sidéré de voir une femme lui parler numéros de moteur et de châssis. Il appelle finalement Bastien pour confirmer les informations et délivrer le précieux sésame : plutôt un homme en short qu’une femme en jupe…

Enfin sur la route...

Nous fermons les fenêtres car Baloo prend l’eau. Grande nouvelle : il prend l’eau aussi fenêtres fermées ! Une histoire de portières mal réglées à laquelle il va falloir trouver une solution vu la fréquence et la force des orages ici…





Comble de malchance : c’est le moment que la ventilation choisit pour tomber en panne. Et il fait chaud, si chaud…

« Ecoutez les filles, on va faire contre mauvaise fortune bon coeur… ». Pas le choix !







Comme un baume au cœur, les camionneurs malaisiens nous manifestent leur amitié à grands renforts de klaxons !
Nous craquons pour les cabines en bois coloré home made dont ils customisent leurs vieux Mercedes.




Nous nous rendons à l’évidence : impossible de trouver un coin de nature isolée pour bivouaquer tant la densité de population est forte dans le sud de la Malaisie.

Grâce aux conseils d’autres voyageurs, nous atterrissons sur la petite plage de Blue Lagoon






C’est le week end et nous profitons de l’animation: ici, on se baigne tout habillé dans une eau à 34°C !

Avec ou sans voile mais entièrement vêtue. Aurélie n’ose pas enfiler son bikini…



Les familles musulmanes apportent natte et vaisselle afin de déjeuner à l’ombre des palmiers, les bateaux de plaisance déposent des touristes chinois qui ne savent pas nager, les marchands de glace agitent leur clochette devant les enfants agglutinés.

Tous nous manifestent de la bienveillance. Un vacancier nous propose même de venir prendre une douche chez lui : quelle gentillesse !

Nos filles avaient un rêve en Afrique : chevaucher une autruche. C’est chose faite grâce à la ferme d’autruches que nous visitons à Port Dickson: pas vraiment couleur locale… mais voilà un rêve accompli à peu de frais !






Nous apprenons qu’un œuf d’autruche peut supporter un poids de 90 kg sans se briser !





Séance de photos !

Faustine, Rose et Bertille se prêtent maintenant de bonne grâce au jeu des photos mais personne n’a encore réussi à approcher Zélie…

Nous faisons connaissance avec quelques spécimens locaux que nous sommes heureux de ne pas avoir rencontrés dans la jungle !

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